- Ici, sur la côte nord est des États Unis (New Jersey et Pennsylvanie) nous voyons sans arrêt apparaître [4 septembre] de petits nuages égarés très rouges (presque comme des néons) desquels est émise de la lumière. Pas d_orage, pas de pluie. Ces nuages arrivent tout seul.
- Signes des Temps #248
- Ici en Norvège [10 octobre], le ciel entier s_est soudain illuminé et tous les feux de signalisation routière se sont éteints l_espace de 2 secondes. Une lumière vive suivie d_une panne pourrait faire penser qu_il ne s_agissait que d_un éclair, mais il n_en était rien. Il n_y avait eu ni orage ni autres éclairs de toute la journée. Le ciel entier s_était illuminé et ne ressemblait en rien à un éclair.
- Signes des temps #346
- Le minerai de fer est configuré magnétiquement pour sortir de n_importe quel milieu dans lequel il est libre de se mouvoir, et en fait de la sorte en particulier dans l_espace. La Planète X, tel un énorme aimant, balaie [la Ceinture d_Astéroïde] et émerge à chaque fois avec un plus gros nuage de poussières. Nous avons mentionné que la queue s_incurve vers la Terre, attirée par la gravité, le magnétisme et autres attracteurs. Le nuage proprement dit existe parce qu_il y a une sorte de liant qui le maintient. Il y a plus que la gravité en jeu, c_est une explication trop simpliste, et plus que le magnétisme bien que le minerai de fer soit certainement plus actif magnétiquement que la plupart des nuages de poussière.
- Dires des Zêtas: Poussière Rouge, écrit le 11 janvier 2003
La poussière, dans l_atmosphère terrestre, dérive jusqu_à tomber sur Terre, parfois lentement selon son poids mais le processus ne varie pas, se
précipitant souvent avec les orages lorsque de minuscules particules de poussière accrochent l_humidité et provoquent le tombée de la pluie. Alors
pourquoi, sur une planète marine telle que la Planète X, y a-t-il un nuage de poussière qui enveloppe en permanence cette planète? Le nuage de
poussière, composé principalement de particules rouges de fer oxydé, est chargé, et les particules sont donc plus intéressées par une danse magnétique,
entre particules, que par toute attraction gravitationnelle que le corps massif de la Planète X peut leur présenter. Le nuage se hérisse, résistant à la gravité
comme les cheveux électrifiés après le brossage les jours d_hiver sec, qui se dressent sur la tête et font des petits craquements. Que se passe-t-il quand
cette poussière chargée approche la Terre et entre dans l_atmosphère terrestre?
L_homme connaît bien le magnétisme et l_électricité, et pense que ces deux phénomènes n_en font qu_un car un électroaimant engendre un champ
magnétique à partir d_un flux d_électrons. Il n_y en a pas un seul, ni deux, mais des centaines et l_homme n_a que très peu imaginé l_étendue du
phénomène. Qu_est-ce qui fait s_incurver la queue de la Planète X vers la Terre avec l_approche du passage? Ce n_est pas avant tout que le vent
solaire la souffle dans la direction de la Terre, car sa position et sa proximité aurait permis la chose depuis des semaines, voire des mois déjà. Ce n_est
certainement pas l_attraction gravitationnelle de la Terre, toute petite en comparaison de la planète mère, la Planète X. De la même façon, l_attraction
magnétique de la Planète X commande largement à la Terre. La queue se trouve prise dans le flot de particules situé entre la Terre et la Planète X,
montant en vague vers la Terre avec ce flot de particules, même si elle n_est pas observée depuis la Terre du fait de l_obstruction par la poussière, puis
elle retourne vers la Planète X à la périphérie.
Imaginez cette scène, la Planète X comme un énorme aimant arrivant au voisinage par le Sud, son pôle nord pointant vers le pôle sud de la Terre. Si les
deux planètes s_alignent sur le champ magnétique du Soleil, qui est statique en dépit de ce que raconte la NASA au sujet d_un décalage de ce champ
lors des cycles d_éruption solaire, l_approche de la Planète X depuis le sud de l_écliptique est tel que son pôle nord engage d_abord le pôle sud de la
Terre, dans le scénario. La Terre a réagi à cette approche en s_élevant au dessus du Plan de l_Écliptique, de sorte que le flux de particules magnétiques
peut aller du pôle Nord de la Planète X au pôle sud de la Terre, selon l_alignement préféré des aimants. Donc, comme les champs magnétiques se sont
rejoints et reliés, le nuage de poussière rouge a maintenant une trajectoire à suivre. Quand la rotation ralentira jusqu_à l_arrêt complet, ce sera parce que
les planètes seront suffisamment près l_une de l_autre et que ce flux, du pôle nord au pôle sud, aura augmenté en intensité.
Le nuage de poussière se presse alors vers la Terre, depuis le sud, vrombissant au passage de la Terre pour coalescer au pôle nord et repartir à nouveau
pour se rabattre au loin avec le flux de particules autour du pôle sud de la Planète X. L_effet en est une précipitation massive de nuage de poussière
rouge, avec le corps brillant de la Planète X que l_on peut voir en son milieu, et qui semble vouloir engloutir la Terre. Cette poussière ne tombera de
façon significative que lorsque l_atmosphère terrestre sera retenue donc la résistance amoindrie, lors des jours de l_arrêt de la rotation quand le flux de
particules magnétiques créeront une force derrière ces particules chargées. Elles bombarderont alors la Terre en une espèce de tempête de sable.