Les Dires de Zeta: Bien Commun
Écrit le 11 octobre 2003
Si on laisse de côté la politique, que seront prêts à faire ceux qui ont prêté serment pour défendre le bien commun quand la Planète X dansera de plus en
plus près? A l’instar de la réunion de chefs d’état en France, où l’excuse était de débattre de l’Irak et de corriger les désaccords, la réunion des
départements de la défense au Colorado a utilisé l’excuse des jeux de stratégie militaire de l’OTAN. Dans les deux cas, on notera que les discussions ne
furent pas transmises par les moyens électroniques, qui auraient pu être enregistrés, mais se firent en face à face. Il s’agissait de choisir entre tout expliquer,
ne rien expliquer, lâcher la vérité au compte goutte, donner des explications fictives ou fournir en partie la vérité.
- Toute déclaration qui dirait tout au public, admettant le secret ayant entouré le sujet pendant toutes ces dizaines d’années et avouant l’échec du
détournement de la trajectoire de la planète X fut jugée susceptible d’entraver leurs réunions publiques et leurs explications à des actions presque
entièrement non de leur fait. Les responsables du maintien du secret doivent en fournir l’explication, et tout plan pour le bien commun doit
comprendre cela comme issue.
- La participation au maintien du secret actuel, avec la non couverture par les média de la montée des océans, des tremblements de terre de plus en
plus fréquents, des pluies de météorite, et de la présence d’un second soleil fut universellement décriée comme étant le problème, et non la solution.
Si les responsables de la défense du bien commun ne contrôlaient pas les médias, au moins pourraient ils ne pas participer au maintien du secret. La
position serait « sans commentaire », de sorte qu’encore une fois, ceux qui continuent à maintenir le secret devraient se confronter à un public en
colère, comme ce devrait être le cas.
- Sur le fait que des fuites ont eu lieu, et devraient aller en augmentant, la décision fut prise d’entretenir les rumeurs, plutôt que de les supprimer ou les
punir. A la demande de confirmation de telle ou telle rumeur, un haussement d’épaule, sans commentaire, sera le mot d’ordre, laissant le public et la
presse traquer la source de la fuite pour avoir plus d’information, et encore une fois empêcher que ce groupe soucieux du bien commun ne pense à
autre chose.
- Les explications fictives, fournies pendant le maintien du secret, furent jugées être un exercice allant à l’encontre des intentions du groupe. La mise
en avant à n’en plus finir des changements globaux actuels à la lumière du réchauffement planétaire, des éruptions solaires ou de changements
cycliques et inexpliqués du climat devait être laissés aux groupes en charge du maintien du secret. Déjà attaqués et en demande d’explication sur les
écarts de données et sur les cas évidents de données retravaillées, ces groupes devraient voir leur mission leur retomber sur les pieds, comme il se
doit.
- Ce qu’il fallait bien admettre c’était les changements terrestres en cours, le tremblements de terre majeurs, les villes soumises à des cassures, les
inondations et les super orages ainsi que la visibilité de quelque chose près du Soleil, les jets de météorites et de poussière vers la Terre. Cette
attitude permet à ce groupe de réagir devant les dégâts sur Terre sans avoir besoin de défendre ou de continuer le maintien du secret. Cette position
pare contre un désastre dû au basculement des pôles comme à un passage sans dommages, et englobe les deux scénarios. Cette position met à pied
d’égalité avec l’homme de la rue ceux qui sont en charge de la défense du bien commun, conscients des changements terrestres puisqu’ils se
produisent, et non dans les baskets de la NASA ou de l’élite, au courant depuis des dizaines d’année de la trajectoire et de l’approche de la
Planète X.