Le numéro de Mars 1996 du Journal MUFON présenta un article de Kent Jeffrey, le coordinateur de L’Initiative Internationale de Roswell, article qui concluait que le film montrant l’Autopsie de Roswell était un faux. Ses découvertes faisaient écho à beaucoup d’affirmations faites par les Zêtas en août 1995, à savoir:
Les Dires des Zêtas au sujet du corps
Le corps de l’extraterrestre dans le film de l’autopsie, qui paraissait très humain à quelques exceptions près, était
de fait humain. Les différences que l’on remarque étaient soit naturelles, soit exagérées par la chirurgie plastique,
ou truquées dans les autres cas. Le corps de base était celui d’une jeune fille pubère, qui tomba malade et mourut
dans une institution pour handicapés mentaux, et qui était depuis longtemps pupille de l’Etat. Son handicap était
dû à l’hydrocéphalie, ce qui génère ces crânes hypertrophiés. Les grandes orbites oculaires étaient déjà
présentes, mais les yeux en eux-mêmes furent remplacés par de plus grands, d’où cette apparence écarquillée,
car les paupières avaient dû être fixées et ne pouvaient plus se fermer. Cette jeune fille était à tout point de vue
un légume avant qu’elle ne meure, et était dans l’incapacité d’accepter ou de refuser le moindre traitement. On se
permit donc de pratiquer sur elle, quelques mois avant sa mort, une chirurgie esthétique qui fit disparaître à la
fois son nombril et ses seins, mais ces six doigts aux mains et aux pieds étaient déjà là, du fait d’un gène récessif.
MUFON au sujet du corps
Les caractéristiques humaines de ce supposé extraterrestre suggèrent qu’il s’agit soit d’un cadavre humain, soit
d’une poupée fabriquée d’après un corps humain... Des aspects particuliers de ce corps présumé extraterrestre,
tels que la protubérance de certains muscles et os sous-jacents, comme les clavicules, impliquent que la structure
interne correspondante serait humaine ...
Les Dires des Zêtas au sujet des organes
Quant aux organes, que l’on ne vit jamais clairement quand ils furent extraits, il furent substitués à l’occasion
d’un flou et d’une prise rapide.
MUFON au sujet des organes
Citant le médecin légiste Ed Uthman, l’article déclare que « la chose la moins plausible de toutes reste que cet «
extraterrestre » avait des sortes de grosseurs amorphes à l’intérieur du corps, de son corps « féminin ». Je ne
peux me figurer qu’un extraterrestre qui aurait des organes externes si semblables aux nôtres ne puisse avoir de
quelque façon une structure définitive des organes internes. »
Les Dires des Zêtas au sujet du cameraman
Bien sûr que l’on peut dire que ce sont des âneries à cause du cameraman, mais c’est parce que le cameraman
était mauvais! Comme dans l’histoire de Ray Santilli, la séquence du cameraman a été soigneusement mise en
scène, et on a recherché un cameraman qui puisse étayer la scène pour que les conclusions au sujet du cameraman
soit plausibles.
MUFON au sujet du cameraman
En plus de faire remarquer les nombreuses failles dans l’histoire du cameraman, l’article déclare: « Une chose
qui est presque humoristique dans l’histoire du cameraman est qu’il parle un anglais britannique. Si les nuances
peuvent ne pas être évidentes à ceux qui parlent l’ « Anglais de la Reine » (la langue leur semblerait évidemment
naturelle), ces nuances sautent aux yeux des américains.
Les Dires des Zêtas au sujet de la nullité du tournage
Comment se peut-il que sur une autopsie d’une telle importance, le cameraman puisse faire une prise floue? Ne
savait-il pas se servir de sa caméra? Ne fut-il pas choisi pour cette compétence? Et si tel n’était pas le cas, s’il
était de fait inexpérimenté, pourquoi paraissait-il ne pas vouloir montrer un tant soit peu l’inverse?
MUFON au sujet de la nullité du tournage
Après avoir retrouvé trois cameraman de l’armée et les avoir abondamment interviewés, à savoir Joe Longo,
président de l’Association de Cameraman de Combats, Bill Gibson, qui photographia des lancements de ballons
et les opérations de sauvetage du Projet Mogul, ainsi que le Lieutenant Colonel Daniel Mc Govern, qui officia
sur les projets classifiés Twinkle et Grudge et filma une séquence des ravages nucléaires sur Nagasaki et
Hiroshima - l’article déclare: « Tous trois considèrent que le travail de la caméra dans le film de Santilli est
épouvantable, et que, pour des milliers de raisons, ce travail ne répond à aucune norme militaire. »
Les Dires des Zêtas au sujet des accusations de fraude
Est-ce que quelqu’un ira en prison pour avoir frauder ainsi? Pour quel crime? Une fraude doit faire des dégâts en
se perpétrant, et celle-ci n’en fait aucun. Une fraude doit faire des dégâts d’une façon ou d’une autre, et rien ne
transparaît. Quelle serait la défense? On m’avait assuré que les extraterrestres existaient bel et bien, et ils ont
découvert le contraire. Et tous de rire dans le palais de justice.
MUFON au sujet des accusations de fraude
Après avoir contacté le Bureau des Fraudes Graves de Scotland Yard avec les preuves que le film de Santilli sur
l’autopsie était une fraude, l’auteur reçut une réponse écrite stipulant « qu’il n’y avait pas ‘matière à recherches
pour ce Bureau.’ Au cours d’une conversation téléphonique que j’eus ensuite, on me dit qu’avant qu’ils puissent
agir ‘il fallait qu’il y ait eu au moins une victime au Royaume Uni’ »
Les Dires des Zêtas au sujet de l’issue
Quelles étaient leurs intentions? Bien entendu d’acclimater le public à la présence extraterrestre, à la vue de
corps extraterrestres, à la pensée qu’humains et extraterrestres ont des contacts, à l’image de leur gouvernement
impliqué dans ces contacts - mais au travers de l’impression rassurante que les humains étaient les plus forts.
Comment pourrait-il en être autrement, quand les extraterrestres se font découper par des hommes en blouse
blanche? Et à l’intention de tous ceux que cette pensée par trop effraie, et dont les coeurs battent la chamade, et
dont la pression artérielle augmente, et que l’angoisse détourne encore de leurs tâches quotidiennes - arrivent les
doutes sur l’authenticité du film qui sont bientôt renforcés par l’apparition de sceptiques de plus en plus
nombreux et qui mettent en avant des faits précis.