L'un des modes d'assassinat favoris de la CIA est par la maladie. L'agence préfère cette méthode à ce que l'on pourrait autrement qualifier d'attaque ou d'infarctus car elle est moins suspecte. Et ceux qui baignent dans un certain savoir, informés des penchants ou de la propension d'un sujet, ont par surcroît l'avantage d'observer la souffrance. Avant l'annonce de son décès, les activités menées par Robert Harrington n'ont pas fait bonne figure dans les médias, alors qu'il s'apprêtait à repérer la Planète X et à en alerter l'humanité. Observant sa souffrance qui à leurs yeux découlait de toute évidence d'un assassinat par infection, ses comparses dansèrent au rythme que leur imposait la CIA. Ces maladies, on peut les voir chez certains individus tels des membres de CSETI, affligés depuis quelques années d'un cancer administré, ou encore d'une tumeur cérébrale infligée à un directeur de la campagne électorale du camp Clinton. L'horreur est montrée du doigt par des gens en place qui voudraient en faire taire d'atures. Quant au fils de Art Bell, les rumeurs d'infection au virus du SIDA n'y font pas exception. Or donc, ceux qui diront que la vérité ne connaît pas d'ennemis et que la suppression n'existe pas auront tout le loisir de formuler de telles déclarations, puisque la science moderne, dit-on, ignore ces méthodes d'infection artificielle. Et pourtant, le cancer métastase et apparaît ailleurs dans l'organisme, loin de son origine. Pourquoi ces méthodes d'assassinat vous paraissent-elles si étranges? Existe-t-il un laboratoire de recherche ayant réussi à prouver leur inexistence? Ces méthodes existent pour vrai et sont monnaie courante dans l'arsenal de la CIA.